« La qualité de l’air dans les classes a toujours été un point d’attention, notamment dans le cadre de la crise du coronavirus. Une salle rassemblant vingt à trente élèves peut sentir mauvais après une heure de cours seulement », explique Jos. « Bien entendu, depuis la crise du coronavirus, les règles sur la qualité de l’air sont devenues beaucoup plus strictes. En concertation avec le Groupe IDEWE, nous avons investi dans l’équipement nécessaire et nous surveillons le taux de CO2 de près. Les jeunes se sont entretemps habitués aux fenêtres ouvertes et s’habillent plus chaudement.  »

Bien que les étudiants préfèrent généralement garder les fenêtres fermées, il est important de renouveler l’air de la salle régulièrement. Cela permet aux élèves et aux enseignants de se sentir moins fatigués, d’être plus productifs et même de prendre de meilleures décisions.

« Le groupe IDEWE effectue chaque année un contrôle approfondi de nos bâtiments. L’expert explique ensuite les résultats lors de la réunion du CPPT. Nous savons dès lors exactement où se situent nos besoins », explique Jos. « Nous examinons par exemple d’autres possibilités pour l’aération des bâtiments, comme la ventilation à la demande. » Cette possibilité permet l’activation de l’installation uniquement lorsque le taux de CO2 le requiert.

Sans voix, difficile de donner cours. Près de la moitié des enseignants sont néanmoins confrontés à des problèmes de voix. Le service interne de prévention GIDO Meetjesland a dès lors décidé d’organiser avec le Groupe IDEWE un atelier sur l’utilisation de la voix. Agnes Goeman, enseignante dans l’enseignement secondaire, y a participé : « La formatrice, une logopède et coach vocale bien connue, nous a montré comment préserver notre voix autant que possible. Lorsque j’ai de nouveau été enrouée, j’ai pu éviter que cela s’aggrave grâce à ses conseils. »  

Découvrez ce qu’a pensé Agnes de l’atelier.    

Réformes administratives, diversité croissante et renforcement des responsabilités des enseignants : l’enseignement est un secteur en mouvement. Comme les changements constituent une source de stress, il est important d’accorder une attention particulière au bien-être des collaborateurs.

Jos : « Nous évaluons régulièrement la satisfaction et la résilience des collaborateurs. C’est ainsi que nos enseignants ont accès à un outil élaboré par l’Enseignement catholique de Flandre. Pour le personnel technique et d’entretien, nous utilisons les questionnaires d'IDEWE. Nous veillons ainsi à ce que la voix de chacun soit entendue. »

 « Pour les conflits avec les étudiants ou entre eux, nous disposons d'un scénario, qui détermine une approche appropriée pour chaque type d’incident », explique Jos. « Nous souhaitons étendre cela au personnel. Nous allons bientôt nous concerter avec le groupe IDEWE pour élaborer une politique de prévention des agressions. Une ligne téléphonique sera par exemple mise en place. Si un travailleur est confronté à une agression, il lui suffira d’appuyer sur la touche adéquate pour en informer les collègues. Ils seront ainsi en mesure d’intervenir rapidement. »

La gestion des agressions requiert une approche spécialisée. Le groupe IDEWE excelle dans ce domaine, selon Jos. « Supposons qu’un incident se produise. Je sais que nous pourrons compter sur un expert d’IDEWE. »

1. Demandez au conseiller en prévention interne ou à la personne de confiance de documenter chaque incident, aussi insignifiant soit-il.
2. En cas de conflit sur le lieu de travail, épaulez votre travailleur et restez calme et rationnel. Ne minimisez pas les faits, mais ne les amplifiez pas non plus.
3. Demandez au supérieur hiérarchique de planifier rapidement un entretien avec le travailleur. Assurez un suivi rigoureux pour les travailleurs qui ont vécu un incident.

Avec BuddyBoard, la plateforme numérique de notification développée par le Groupe IDEWE, vous pouvez facilement retrouver les travailleurs qui ont été victimes d’agression.

Les écoles de GIDO Meetjesland proposent de nombreuses orientations différentes, dont l’élevage et la cuisine de collectivité, par exemple. Jos explique : « De telles formations nécessitent des équipements spécialisés, pour lesquels une fiche d’instructions de sécurité (FIS) doit chaque fois être établie lors de leur mise en service. « S’agissant de machines simples telles qu’un mixeur, je peux bien entendu rédiger cette fiche moi-même. En revanche, lorsqu’il est question d’un outil pour le parage des sabots des vaches, je préfère appeler IDEWE (rires). Les experts savent exactement ce que chaque FIS doit mentionner et ils adaptent la langue utilisée à nos jeunes utilisateurs. »

Un accident survient tout de même ? En situation d’urgence, chaque seconde compte. En tant qu'ancien formateur en secourisme, Jos en est tout à fait conscient. Afin de fournir une assistance rapide et efficace, les collaborateurs doivent se familiariser avec les actions à entreprendre. Ils doivent en outre entretenir leurs connaissances et leurs compétences. Les formations organisées par le Groupe IDEWE les aident à cet égard. « J'avais auparavant l’habitude de donner moi-même la formation en premiers secours, mais nous faisons désormais appel au Groupe IDEWE à cet égard par manque de temps. J'ai vu les formateurs à l’œuvre : ils ne manquent jamais de faire preuve d’engagement et de professionnalisme !

« Le Groupe IDEWE est une grande entreprise et pourtant son service reste chaleureux et personnel. Nous avons aussi souvent affaire aux mêmes personnes, ce qui permet de créer un lien. Nous sommes très satisfaits de notre collaboration avec IDEWE. Lorsque je me pose une question, il me suffit de passer un coup de fil pour obtenir la réponse. Le Groupe IDEWE est dès lors bien plus qu’un simple fournisseur, il s’agit d’un véritable partenaire. »